Conférenciers

Éric Ballot, MINES-ParisTech Eric Ballot est professeur à MINES-ParisTech - PSL Research University en Systèmes de Production et Logistique. Directeur adjoint du Centre de Gestion Scientifique - I3 UMR CNRS 9217 et professeur invité à Hong-Kong University. Ancien élève et docteur de l’Ecole Normale Supérieure de Cachan, master d’administration des entreprises de la Sorbonne, HDR de l’Institut Polytechnique Grenoble et visiting Scholar au MIT en 2007. Il préside le conseil scientifique de l’agence de notation extra-financière Transport TK’Blue, membre du GS1 global innovation board, CIMHE, Observatoire du e-commerce et Expert Judiciaire à la Cour d’Appel de Paris. Ces travaux récompensés à de nombreuses reprises en France et à l’étranger s’inscrivent dans des collaborations industrielles. Ces travaux portent sur les modèles économiques de coopération entre les entreprises, l’optimisation des réseaux de transport et le développement durable. Il est un des fondateurs du concept de l’Interconnexion des réseaux logistiques. Il a publié récemment le livre Internet Physique: Le réseau des réseaux des prestations logistiques en 2014 avec Benoit Montreuil et des articles dans IJPR ou IJPE notamment. Ces travaux ont fait l’objet d’un article dans la revue Science en 2014. Les innovations en logistique: de nouvelles problématiques et opportunités de recherche La logistique est bousculée par de nombreuses innovations : nouveaux besoins avec le e-commerce, nouvelles technologies de communication, nouvelles organisations, etc. Ces innovations viennent bousculer les solutions existantes et reconfigurent les chaînes logistiques. En se fondant sur la plateforme logistique, il sera montré comment l’accélération des flux, le concept de l’internet physique, les nouvelles technologies de la communication et de manutention conduisent de nouvelles solutions et permette de revisiter ses fonctions. L’amélioration des outils informatiques et de communication permet de donner une visibilité inédite sur les flux. Comment créer, partager et utiliser ces nouvelles informations dans des modèles? Quels impacts sur les précédés, les normes, la confidentialité? Du fait de l’accélération des flux la frontière entre flux et stock diminue et reconfigure potentiellement non seulement les équipements des entrepôts mais aussi les stratégies de stockage. Quel impact sur les modèles de stock? Enfin, ces bouleversements viennent bouleverser les modèles d’affaires et posent la question des modèles collaboratifs. Quelles nouvelles valeurs sont créées? Comment les partager?     Alain Bernard Prof. Alain Bernard, 56ans, a obtenu l’Agrégation de Génie Mécanique en 1982 puis son doctorat en Productique – CFAO Mécanique en 1989. Il a été Maître de Conférences de 1990 à 1996 à Centrale Paris où il a créé le CREATE (centre de compétences en Développement Rapide de Produits) dans le cadre du Laboratoire Productique-Logistique. De 1996 à 2001, il a occupé un poste de Professeur des Universités au CRAN (UMR CNRS 7039) et à l’Université Nancy I. Depuis 2001, il est Professeur des Universités à Centrale Nantes. Il a été de 2004 à 2006 Directeur du Département « Ingénierie des Produits et Systèmes Industriels ». Il a été Directeur de la Recherche de 2006 à 2012. Après avoir créé son équipe de recherche en 2001 à l’IRCCyN (UMR CNRS 6597) sur l’ « Ingénierie Virtuelle pour le Génie Industriel », il est aujourd’hui chercheur dans l’équipe «Ingénierie des Systèmes -Produits-Performances-Perceptions ». Il a encadré une trentaine de doctorants, récemment sur la modélisation, la simulation et l’évaluation de performance en entreprise étendue, sur l’aide à la décision pour la fabrication additive, sur les systèmes d’information et le PLM. Il a publié plus de 350 papiers dans des journaux, ouvrages et conférences à audience internationale. Il est depuis 23 ans vice-Président de l’Association Française du Prototypage Rapide. Il est aussi vice-chairman du WG5.1 de l’IFIP (Global product development for the whole product lifecycle) et chairman du Scientific and Technical Committee « Design » du CIRP. La fabrication additive : domaine transverse et intégrateur pour des innovations responsables et des performances durables Les années 90 ont vu émerger un ensemble de procédés de fabrication additive dont la maturité est aujourd'hui avérée. Alors que l'ensemble des chaînes numériques et technologiques se forment de manière durable, il sera question des enjeux scientifiques, techniques et économiques de la fabrication additive au regard des principaux grands domaines d'application, mais aussi pour le particulier. Il sera question de fabrication rapide et directe de pièces et d'outillages, mais aussi de prototypage. Un objet issu de fabrication additive peut être valorisé en tant que tel, moyennant des parachèvements, mais peut aussi servir d'objet intermédiaire dans une filière technique plus traditionnelle. Les enjeux sont considérables sur les plans techniques et économiques, grâce à des progrès attendus en particulier pour les matériaux et les principes physiques des procédés, les méthodes de conception, les stratégies de fabrication, les techniques de finition et de parachèvement et les technologies de mesure. Au-delà des aspects scientifiques et techniques, il sera également question d'hygiène et de sécurité, de supply chain, de sécurité des données et de risques de manière générale. Cette présentation sera l'occasion de mettre en perspective l'évolution de la fabrication additive, soutenue par l'émergence de standards portés par la communauté internationale grâce aux efforts conjoints de l'ISO et de l'ASTM. Elle permettra également de mettre en évidence que la fabrication additive rassemble de très nombreuses compétences inhérentes au Génie Industriel, depuis la création et la validation de concepts jusqu'à l'innovation et la création de valeur.     Sophie D’Amours, Professeur au département de génie mécanique de l’Université Laval, Titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la planification durable des réseaux de la forêt. Madame D’Amours est détentrice d’un baccalauréat en génie mécanique (1989) et d’une maitrise en administration des affaires (1992) de l’Université Laval. En 1995, elle a obtenu un doctorat en mathématiques pour l’ingénieur de l’École polytechnique de Montréal, année au cours de laquelle elle est devenue professeure au département de génie mécanique à l’Université Laval. Au fil des ans, madame D’Amours a détenu une Chaire industrielle du CRSNG, une Chaire de recherche du Canada niveau II et une Chaire de recherche du Canada niveau I. Elle a aussi été professeure invitée en Norvège, Suède, France, Chili, Argentine et aux États-Unis. Elle a été vice-doyenne à la recherche et au développement de la Faculté des sciences et de génie 2011-2012. Au cours des trois dernières années, jusqu’en juin 2015, Madame D’Amours a agi à titre de vice-rectrice à la recherche et à la création de l’Université Laval. Dans le cadre de ce mandat, elle a assuré la direction stratégique de plusieurs grandes initiatives institutionnelles, un des objectifs étant de positionner la recherche et la création de façon plus forte au sein de la mission universitaire et de gérer une activité de recherche annuelle de plus de 320M$. La carrière de madame D’Amours est marquée de nombreuses contributions structurantes, notamment le développement du Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d’entreprise, la logistique et le transport (CIRRELT) - dont elle a été codirectrice entre 2008 et 2010; la création du Consortium de recherche FORAC - dont elle a assumé la direction, de 2002 à 2011, et qui est aujourd’hui reconnu comme leader mondial en recherche sur la gestion des chaînes de valeur dans le secteur forestier. En 2009, le Conseil de recherche en sciences naturelles et génie du Canada (CRSNG) lui a attribué la subvention du Réseau stratégique CRSNG sur l’optimisation des chaînes de valeur dans le secteur forestier, un témoignage de son leadership scientifique, son engagement, de son dynamisme scientifique et une reconnaissance de ses capacités de mobilisation à l’échelle canadienne et internationale. Avec plus de 130 publications scientifiques à son actif et sa contribution à de nombreux évènements au Canada et à l’étranger, les travaux de recherche de madame D’Amours ont marqué l’évolution des modèles de planification du secteur forestier au Canada et ailleurs. Cette contribution a par ailleurs été reconnue par l’obtention du prestigieux prix Brockhouse du CRSNG en 2012 ; du prix Henri-Gustave-Joly-de-Lotbinière 2008 de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec ; du prix Femme de mérite en science et technologie du YWCA en 2003 ; et sa nomination à l’Académie du génie du Canada. Par ailleurs depuis 2010, elle préside le conseil d’administration du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ). Elle siège aussi au CA de la Société québécoise des infrastructures ainsi qu’au Conseil de recherche en sciences naturelles et génie du Canada (CRSNG), dont elle préside le comité des partenariats et, en 2014 a co-présidé le comité de planification stratégique. Ses fonctions universitaires l’ont aussi amenée à siéger aux Conseils d’administration du CHU de Québec, de SOVAR et de Calcul Québec. La collaboration pour des solutions durables – de la science à l’action La complexité des systèmes économiques ainsi que la quête d’une plus grande compétitivité et du maintien des services écosystémiques nous poussent à revoir fondamentalement nos connaissances des processus de décision distribuée. La planification collaborative (ses pratiques et ses technologies) s’inscrit de plus en plus comme solution d’avenir. Les scientifiques ont longuement réfléchi à ces questions. Toutefois, à cette époque où les technologies de l’Internet provoquent des changements profonds, il semble à propos de réactualiser nos connaissances et de les rendre "praticables" par l’expérimentation sur le terrain. Les enjeux sont fortement associés à la complexité des décisions, aux nombres grandissants de détenteurs d’intérêts, à la disponibilité massive de données ainsi qu’aux pressions et actions citoyennes. Cette conférence présentera une réflexion industrielle, méthodologique et technologique sur la planification collaborative appliquée notamment au secteur forestier.     Karl Desbiens, Directeur des achats et de la mise en marché et futur directeur général, Canac M. Karl Desbiens est actuellement Directeur des achats et de la mise en marché chez Canac. En 2016, il deviendra directeur général de la chaîne. Il débute sa carrière en 1985 en tant qu’étudiant commis à l’entrepôt dans une succursale. Entre 1992 et 2002, il œuvre en succursale tout en gravissant les échelons, d’abord comme commis à la réception puis comme conseiller et chef d’équipe, avant d’occuper les fonctions d’assistant-directeur et de directeur. Il sera muté au siège social en 2002 comme directeur de la mise en marché avant d’occuper son poste actuel. M. Desbiens détient un BAA (finance), un MBA pour Cadres de l’Université Laval et chemine actuellement vers l’obtention du titre d’ASC. Le développement logistique d’une entreprise familiale de Québec dans le secteur des matériaux de construction     Jean Favreau, Directeur de recherche, FP Innovations Diplômé de l'Université Laval en génie forestier et titulaire d'une maîtrise en économique de l'UQAM, Jean Favreau a commencé sa carrière comme consultant en génie forestier avant de se joindre à l'équipe de FPInnovations en 1985 comme programmeur et en est aujourd'hui directeur de recherche. Il possède une grande expertise du point de vue technique et excelle dans la négociation de contrats et dans la gestion. Il est membre de plusieurs comités scientifiques et a, à son actif, de nombreuses réalisations dans le domaine forestier.   FPInnovations est un des plus grands centres privés de recherche scientifique au monde. FPInnovations agit comme catalyseur de transformation du secteur forestier en rassemblant les membres du secteur privé ainsi que les collèges, universités et gouvernements provinciaux et le gouvernement fédéral. FPInnovations est un chef de file mondial sans but lucratif qui se spécialise dans la création de solutions à vocation scientifique soutenant la compétitivité à l’échelle mondiale du secteur forestier canadien et qui répond aux besoins prioritaires de ses membres industriels et de ses partenaires gouvernementaux. Il bénéficie d’un positionnement idéal pour faire de la recherche, innover et livrer des solutions d’avant garde qui touchent à tous les éléments de la chaîne de valeur forestière, des opérations forestières aux produits de consommation et industriels. FPInnovations compte plus de 525 personnes incluant des laboratoires de recherche situés à Québec, Montréal, Thunder Bay, Hinton et Vancouver et des bureaux de transfert de technologie à travers le pays.     Philippe Girard, l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (ISAE), Toulouse, France Il est Enseignant-Chercheur à l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (ISAE) en France à Toulouse. Il est Directeur de deux Mastères Spécialisés en Management de Projet – Mastère Management de Grands Projets, crée il y a 15 ans en partenariat avec HEC (Hautes Études Commerciales) – Mastère Aerospace Project Management créé en 2011 en partenariat avec l'École de l'Air de Salon de Provence et l'École Nationale de l'Aviation Civile. Il a passé 22 années en qualité d'ingénieur au sein d'Airbus sur les chaînes d'assemblage. Il fût notamment responsable de la relation-clients auprès des compagnies aériennes venant réceptionner leurs avions sur le site de Toulouse. Il fut également responsable qualité en charge de l'application des méthodes Lean au centre de peinture Airbus. Il est devenu, par ces années d'expérience, un spécialiste reconnu dans le domaine du Management de Projets Aéronautiques. La mise en place d'un Management de Projet moderne dans le lancement d'un nouveau programme aéronautique Le terme ingénierie est un terme introduit de manière récente dans la langue française où il se substitue parfois au terme « Génie » désignant l’art de l’ingénieur. L’ingénierie désigne un ensemble d’activités qui s’associent afin de pourvoir aux besoins d’un client : définition et analyse des besoins, études de conception et réalisation d’un projet. Le Génie Industriel vise l'optimisation de la performance globale des entreprises et des organisations industrielles. S’il y a bien un domaine où le Génie Industrielle a fortement contribué à optimiser la production en série, c’est bien le domaine de l’Aéronautique où les pratiques de Management de Projet se sont très vite imposées. Je m’attacherai à décrire ces pratiques chez le concepteur et fabricant d’avion AIRBUS. Pourtant la composante très politique des grands projets aéronautiques est parfois un obstacle au bon sens et à l’efficacité industrielle ; le « Génie » s’en trouve parfois contrarié.     Christian Lafrance, Président, responsable du développement de produits et de la recherche, Clear Destination Christian Lafrance est le président fondateur de Clear Destinations. Clear Destinations automatise complètement le processus de livraison à domicile de gros items tel que meubles, électro ménagers et matelas etc... Clear Destination emploie 26 personnes à Montréal et collabore à de nombreux projets de recherche avec des universités canadiennes et américaines (développement de nouveaux algorithmes en recherche opérationnelle et développe des projets dans le domaine de l'internet physique) Christian est un vétéran de 20 ans de l'industrie du logiciel. Dans ses projets antérieurs, il a notamment été co-fondateur de Ywait, Inc, où il a développé une solution de répartition automatisée pour la livraison de courrier ainsi que la détection automatique des incidents et du trafic grâce à des images vidéo. Il a également participé au démarrage de Medical Computing Groug une entreprise qui a développé dans les années 2000 une solution de télé santé. Dans ses temps libre Christian pratique le ski alpin de haute montagne, le golf et les randonnées pédestres.   Clear Destination révolutionne la gestion de l'information en rapport aux mouvements des biens. La mission de l'entreprise est d'être la référence mondiale dans la gestion synchronisée en temps réel de la logistique du transport de biens et services. ''De partout, jusqu'à votre porte.'' L'entreprise gère l'ensemble du processus de livraison à domicile de gros articles tels que, meubles, électroménagers, matelas. La solution permet entre autre aux détaillants ; offre aux consommateurs des fenêtres horaires de livraison de 2 à 3 heures avise les clients en temps réel de l'état de la livraison propose aux clients de suivre l'état de leur livraison peu importe l'assistant personnel. L'entreprise est un leader canadien gérant près de 70% du volume de livraison au pays. L'organisation développe activement les marchés américains et mexicains.     Alain Louchez, CDAIT, Georgia Institute of Technology, Atlanta, U.S.A. Alain Louchez est Directeur du "Center for the Development and Application of Internet-of-Things Technologies (CDAIT)" (Centre pour le développement et l’application des technologies de l’Internet des objets) au Georgia Institute of Technology (Georgia Tech), Atlanta, Etats-Unis. CDAIT (prononcé en français ci-dette) est un "Think Tank technologique" exclusivement axé sur l’Internet des objets et sponsorisé par de grands groupes multinationaux. Ancien responsable des services de télévision par micro-ondes à Hawaii pour GTE/Verizon, il fut, entre autres, Directeur Général de BellSouth (maintenant AT&T) France et ancien membre des conseils d’administration de France Télécom Mobiles Data, Cofira (maison mère fondatrice de la SFR) et Com-Dev (ancienne filiale de TV câble de la Caisse des Dépôts et Consignations). Alain Louchez est associé étroitement au développement de normes pour les communications "machine à machine" (M2M) et Internet des objets aux Etats-Unis et au sein de l’Union Internationale des Télécommunications (IUT) aux Nations Unies. Il est membre des conseils consultatifs de Georgia Tech Lorraine (France) et du "Center for International Business Education and Research" (CIBER) à Georgia Tech qui est reconnu comme un centre d’excellence sur les thématiques de la globalisation, les multinationales, les marchés émergents ou encore le développement durable. L’Internet des objets en industrie: promesses, défis et rôle dans le cadre de l’Internet Physique L’Internet des objets (notamment via les systèmes cyber-physiques) est perçu par un grand nombre d’experts, particulièrement en Allemagne, comme le point de départ de la quatrième révolution industrielle. Une bonne compréhension de ce qu’il est et ce qu’il n’est pas est donc de plus en plus nécessaire, surtout dans un contexte de génie industriel. La présentation propose d’explorer 1) le concept "Internet des objets" (aussi décrit en français par "objets connectés", en anglais par "Internet of Things" et pour le secteur industriel en allemand par "Industrie 4.0"), 2) son utilisation variée à travers différents écosystèmes (qui parfois ajoute à la confusion) ainsi que 3) les technologies qui lui sont associées. La communication mettra en évidence le rôle pivot que joue l’Internet des objets dans le développement de l’Internet Physique. Les défis à la fois technologiques et non-technologiques qui sont actuellement discutés aux plus hauts niveaux gouvernementaux, par exemple en Amérique du Nord, Europe et Asie, et qui doivent être relevés pour transformer les très médiatisées promesses de l’Internet des objets en réalisations concrètes et fructueuses seront revues en conclusion.     Olivier Marcotte, Agent de recherche et développement, Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ) Olivier Marcotte est ingénieur en mécanique de formation. Il travaille au Centre de recherche industrielle du Québec depuis 2009 en tant qu’agent de recherche et développement. À ce titre, il est appelé à concevoir des systèmes d’automatisation complexe dans le cadre de projets de recherche et développement pour la clientèle industrielle du CRIQ. Il a été activement impliqué dans le développement du laboratoire de fabrication additive du CRIQ, mis sur pied au cours de l’année 2014 et il est aujourd’hui co-responsable de ce laboratoire. La fabrication additive : Tour d'horizon et services du CRIQ Le Centre de recherche industrielle du Québec est une société d’état dont la mission est de contribuer à la compétitivité des secteurs industriels québécois et à la croissance des organismes en soutenant l’innovation, la productivité et les exportations. Le CRIQ compte plus de 200 employés hautement qualifiés qui réalisent plus de 1000 projets de recherche et développement annuellement pour le compte de clients industriels.